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Cette année, Jean-Luc Sandoz, diplômé de la promo 1983, fête les 30 ans de son groupe franco-suisse CBS-Lifteam, fondé sur la devise « plus d’ingénierie, moins de matière ».

Cette devise, qui invite à faire plus avec moins, prend tout son sens dans la période actuelle et correspond pleinement aux valeurs et à la stratégie de l’ENSTIB.

Très tôt précurseur sur le matériau bois en haute performance mécanique, Jean-Luc le projette dans l’approche des futurs Eurocodes qui deviennent la norme européenne dans les années 1990.

Réputé pour son expertise et ses innovations, il détient à ce jour de nombreux records, tels que :

  • Record de portée avec ses poutres treillis de 45m pour un gymnase à Donzère,
  • Record de hauteur pour une tour de bureaux en bois en R+9 à Nice, essentiellement en bois des Vosges,
  • Record de plateformes offshore avec 50000m2 soit plus de 7 terrains de foot posés sur les lacs en Suisse, bois réutilisés ensuite pour la fabrication de hangars agricoles.

Conférencier international, il a également a expertisé de nombreux ouvrages historiques et réputés, tels que la Cité interdite de Pékin en Chine, les châteaux de Sion en Suisse ou encore le Palais de Justice de Bucarest en Roumanie.

En Europe, son groupe est reconnu pour ses constructions bois et biosourcées à caractère exemplaires,  dépassant systématiquement les performances de réglementations énergétiques. Il favorise l’utilisation du bois local, que ce soit sur les massifs métropolitains mais aussi en Amazonie, ou encore en Guyane, où il collabore avec l’ONF, le FCBA  et le CNES, pour caractériser le bois feuillus dans le but de construire le nouveau centre technique spatial à Kourou. En Amérique du Nord et en Asie, il est davantage connu pour ses appareils technologiques de mesures « Polux », qui servent à la maintenance et l’entretien des poteaux électriques et de télécommunications, et pour lesquels, notamment, il reçoit en 2003 le 1er prix  de l’innovation du Wall Street Journal.

Le groupe est présent dans 22 pays et référents dans des entreprises européennes comme Deutsch Telekom, Swisscom, Orange ou encore Enédis.

En 2020, il pare tout de bois, le Village des Jeux Olympiques des JO de Lausanne, où il fait aussi travailler, comme sur de nombreux projets, des vosgiens, comme le Scieur Gaiffe et l’entreprise Fibex.

Jean-Luc Sandoz est également le formateur de centaines d’élèves de l’ENSTIB à travers ses conférences sur le Campus Bois, ainsi qu’au CHEB à Paris. Il les accueille aussi en stage ou en apprentissage sur les huit entités du groupe (en IDF, en Rhône-Alpes, en Guyane, en Suisse ou au Portugal).

Le Groupe CBS Lifteam emploie 120 salariés, pour un CA2021 estimé à 40 millions €

Profil à retrouver sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Luc_Sandoz

www.cbs-cbt.com et sur les réseaux sociaux Linkedin, FB, Instagram, Twitter

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Après une semaine de labeur, sur le Campus Bois de l’ENSTIB, les 50 défiboiseurs ont présenté leur 10 microarchitectures au jury, composé de professionnels et experts de la filière.

La 16ème édition de la manifestation, avait pour thème la conception et la fabrication d’un « Bivouac Durable », pour les FRANCAS des Vosges.

Ingénieurs bois, architectes et compagnons du devoir, ont œuvré à la création de 10 microarchitectures originales et performantes, toutes différentes.

Découvrez ici le palmarès

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C’est sur le Campus Bois de l’ENSTIB (École Nationale Supérieure des Technologies et Indus[1]tries du Bois) à Épinal que les Défis du Bois 3.0 installent les 10 chantiers de cette 16e édition.

L’année 2021 voit pour la 6e fois la formule lancée en 2015, visant à produire des structures prototypes, pouvant être exploitées par un partenaire privé ou public. Il s’agit d’inscrire l’ancrage de la manifestation dans les enjeux actuels, numériques et environnementaux, tout en intégrant une dimension professionnelle toujours plus forte.

Les 10 stations de valorisation des déchets organiques, construites en 2019 pour le SICOVAD, ont trouvé leur place et leur utilité, dans 10 lieux publics et privés du département des Vosges. Ainsi, l’ENSTIB et l’ENSarchitecture de Nancy travaillent à anticiper les évolutions impactant les enseignements et font progresser leurs disciplines dans un contexte territorial porteur élargi. Après 11 ans d’archi-structures, les Défis du Bois proposent depuis 6 ans une nouvelle approche pour cette aventure pédagogique, tech[1]nique et humaine. Il s’agit de s’intéresser aux microarchitectures pour être poétique, humain et durable. Construire avec des ressources qui s’affaiblissent, anticiper les conséquences d’un dérèglement climatique qui modifiera notre environnement, considérer la rapidité du développement des technologies du numérique sur nos modes de vie.

L’OBJECTIF 2021: concevoir et fabriquer des structures esthétiques et pratiques, différentes les unes des autres et adaptées aux sites auxquels elles sont destinées, qu’ils soient urbains, publics ou privés, pour un usage environnemental. Comme chaque année, le sujet sera révélé le jour de l’inauguration.

Rendez-vous quotidiennement sur les réseaux sociaux, pour suivre la manifestation et le 1er juin, pour connaitre le palmarès !

Toutes les infos sont aussi sur www.defisbois.fr

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Depuis quelques semaines, la forêt et l’utilisation du bois sont des sujets d’actualité. L’amalgame permanent, entre les images chocs de la déforestation en zones tropicales et la réalité de la progression du patrimoine forestier sur tout le continent européen, l’idée que les forêts du Morvan sont l’expression généralisée des forêts françaises, l’impression donnée que les entreprises du bois et les forestiers sont tous « vendus au grand capital » et œuvrent systématiquement à grands coups de monstres mécanisés et d’épandages récurrents de glyphosate et d’autres intrants dévastateurs finissent par lasser. 

Peut-on se passer de bois ? C’est la seule question que doit se poser l’opinion public.

Si la réponse est oui, alors acceptons l’idée de l’utilisation tout azimut des ressources fossiles et de la bétonisation de la planète. Actuellement, chaque habitant de notre terre consomme un m3 de béton par an, pourquoi pas deux ou trois, c’est si bon pour le réchauffement climatique… Nos forêts pourront alors être mises sous cloche, revenir à l’état primaire, redevenir impénétrables et largement moins agréables pour la promenade ou la sortie VTT du dimanche, ou simplement disparaître, emportées à leurs tours par le réchauffement climatique, dont les effets sont bien plus rapides que la seule adaptation des forêts à leurs environnements.

Si la réponse est non, alors changeons notre regard sur les spécialistes : gestionnaires forestiers, bûcherons, scieurs, industriels de la deuxième transformation, scientifiques qui prônent un équilibre à travers les multifonctionnalités de la forêt, ou qui mettent en évidence l’intérêt environnemental de l’utilisation du bois, et donc de la récolte des arbres. Cessons de les considérer comme des suspects. Si la forêt est multifonctionnelle, elle est aussi l’une des meilleures illustrations de ce qu’est le développement durable. Les trois piliers du développement durable : social, écologique et économique s’y trouvent rassemblés mieux qu’ailleurs. On trouve aussi, dans ce lien entre la forêt et le bois, de magnifiques exemples de l’économie circulaire et de l’émergence du concept de circuits courts. Les femmes et les hommes qui mettent leur énergie, leurs talents, leurs convictions et leur passion au service des territoires forestiers et des entreprises responsables de la filière, sont souvent aussi silencieux que les arbres qui grandissent. Il serait temps de les écouter !

Exemple de la reconstruction de Notre-Dame

L’opinion public s’est là encore « enflammée » : 3 500m3 de chênes sacrifiés, inacceptable de récolter les 1000 à 1500 chênes nécessaires à la reconstruction !

  • Or, il y a environ 1,3 milliards de chênes rouvres et pédonculés en France.
  • Cette opération représente donc 0.0001% du capital de chênes disponibles…
  • L’accroissement biologique annuel des chênes de France est de l’ordre de 14 millions de m3.
  • Les 3 500 m3 de chêne seront reconstitués dans nos forêts en moins de 2h30….
  • C’est de l’arithmétique de base niveau CM2 : [(365 jours x 24h) / 14 000 000 m3] x 3 500 m3 = 2,18h.
  • 2h30 de production, sans aucun bruit, en prélevant le CO2 atmosphérique et avec le soleil comme seule énergie… 

La forêt et l’utilisation du bois ont un rôle indispensable dans la réalisation des engagements environnementaux de la France. L’effort de communication et de pédagogie sur la nécessité d’une gestion dynamique de la forêt porte aussi sur les générations de futurs acteurs que nous formons à l’ENSTIB. Pour eux, nous nous devions d’intervenir dans ce débat.

Professeur Laurent BLERON, Directeur de l’ENSTIB
Professeur Pascal TRIBOULOT, Directeur honoraire de l’ENSTIB, vice-président de FIBOIS Grand-Est
Contact Presse / Flavie NAJEAN, Responsable Communication de l’ENSTIB 06 87 35 02 16

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Le Comité Stratégique de l’ENSTIB s’est réuni, ces 18 et 19 mars 2021, sur le Campus Bois. Ce comité, composé d’experts, est un organe consultatif, qui a pour objectif d’élaborer et de proposer une stratégie à 5 - 10 ans  pour l’école . Il est chargé d'établir une analyse SWOT (Forces/faiblesses/Menaces/Opportunités) de l'école, analyse demandée dans le dossier de renouvellement CTI.

Il fera également des propositions sur le mode de gouvernance du groupement d'écoles constitué au sein de L-INP.

Il se réunit une fois durant le mandat du directeur. Ses propositions seront présentées à l’occasion du prochain Conseil de l’Ecole, le 9 avril.

Il est composé de 6 membres :

  • Arnaud Besserer, Enseignant Chercheur
  • Gérard Xolin, Enseignant
  • Emmanuel Chassard, Secrétaire Général de L-INP
  • Michel Fick, Vice-président en charge des partenariats socio-economiques et du developpement territorial de l'UL
  • Jean-Marc Legrand, Directeur Berry Wood et Président de l’Union Française des Fabricants et Entrepreneurs de Parquets
  • Jean-Luc Delpeuch, Haut-fonctionnaire de Bercy et ancien Président d'Hésam Université

A l’occasion de ces deux jours de travaux, ces 6 membres ont échangé avec Laurent Bléron, Directeur de l’ENSTIB, Eric Mougel et Alain Renaud, Directeurs Adjoints.

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Emilie Moitré, Ingénieure ENSTIB est Chargée de Mission pour le Parc Naturel Régional des Vosges du Nord, qui accompagne au quotidien les acteurs économiques, touristiques, agricoles et culturels de son territoire à la recherche d’un équilibre, entre l’activité humaine et la protection de l’environnement. Elle a confié, sous la houlette de Denise Choffel, enseignante à l’école, un travail en équipe à toute la promo des 1ères années. Ce dernier avait pour objectif la création d’une interface permettant de gérer les bases de données du Parc. Des propositions très intéressantes, qui seront en partie utilisées par le Parc, ont été présentées par les élèves.

Ce jeudi, l’équipe composée de Nicolas Girod, Marc Reveillere et Thomas Lubin, a été récompensée par notre ancienne élève, pour avoir fourni le travail le plus abouti. L’ensemble de la promo a été félicitée et remerciée par la donneuse d’ordre. « Ils ont su écouter le client et comprendre son projet, avant de se lancer dans la programmation » a conclu Denise Choffel.

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Marion Siméoni diplômée d'AgroParisTech pour la Formation des Ingénieurs Forestiers – ENSTIB, reçoit le prix Xavier Bernard pour son travail en stage de fin d'études sur le sujet "Développement d’outils pour la valorisation du pin d’Alep : de la ressource estimée par massif à la qualité évaluée par arbre".

Ce prix, attribué par l'académie d'agriculture, récompense cette année, 9 élèves d'école d'agro, pour la qualité de leur mémoire.

Félicitations Marion !

Résumés

L’intégration du pin d’Alep (Pinus halepensis) dans la norme NF B52-001-1 relative aux règles d’utilisation du bois dans la construction en 2018, associée à l’apport scientifique riche de cette décennie à son sujet, laisse entrevoir enfin la possibilité de valoriser à nouveau le pin d’Alep à sa juste valeur: c’est-à-dire en bois de construction. Le sud-est de la France disposerait alors d’une filière locale de bois d’œuvre. Toutefois, cela ne se fera pas sans une évolution significative des pratiques sylvicoles et est conditionnée par la capacité des unités de sciages de la région. L’installation de nouvelles scieries est un facteur qu’il est impossible de maitriser. En revanche, il est possible d’en créer un contexte favorable, en apportant des outils facilitateurs pour relier les maillons de la chaine de valorisation du pin d’Alep en bois d’œuvre. Cette étude en a développé trois, plutôt à destination des forestiers, intervenant à trois échelles: celle du massif, celle de la parcelle forestière et celle de l’arbre.

The integration of the Aleppo pine (Pinus halepensis) within the French norm NF B52-001-1 about the usage rules of wood in construction in 2018, combined with the rich scientific benefit of this decade on the topic, comes at last to the possibility to highlight again the fair value of the Aleppo pine : that means in construction wood. Therefore there would be a local lumber industry in the South-East of France. However, this will not occur without a significant evolution of the silvicultural practices and it remains conditioned by the capacity of the sawing units in the region. The installation of new sawmills is an uncontrollable factor. In contrast, it is possible to create a favorable framework, by bringing facilitating tools to connect the chain’s links of the valorization of the Aleppo pine into softwood lumber. This study set out three of them, mainly aimed at foresters, and acting at several scales : the one of the massif, the one of forest plot and the one of the tree.

Contexte et enjeux

L’inclusion du pin d’Alep dans la norme relative au bois de structure, survenue en 2018, a marqué un tournant majeur pour la filière forêt-bois du Sud-Est de la France. Cela vient reconnaître les aptitudes à la construction du bois de pin d’Alep et laisse augurer qu’il soit enfin valorisé à sa juste valeur, comme il le fut jadis dans la construction navale et les anciennes charpentes provençales.

L’enjeu aujourd’hui est d’apporter aux professionnels utilisant le pin d’Aleples outils techniques qui permettront d’opérer un tournant dans la filière, vers plus de bois d’œuvre, dans ce secteur où deux débouchés ont pris le pas sur tous les autres: la pâte à papier et le bois énergie.Cela doit passer aussi par une réhabilitation de l’image du pin d’Alep, mise à mal par sa réputation de «bois qui brûle» dans cette région très touchée par les feux de forêt, et par un changement des pratiques sylvicoles, dans un environnement où la culture forestière est peu développée.

Objectifs et méthodes

L’objectif est de fluidifier les étapes de la chaine de valorisation du pin d’Alep, du massif forestier jusqu’à sa transformation en bois d’œuvre, grâce à des outils techniques partagés.La démarche de ce travail a consisté à identifier les points de blocages à des étapes clés qu’il faut faciliter, à mobiliser les moyens technologiques et scientifiques adaptés et à les transformer en résultats concrets qui prennent la forme d’outils opérationnels destinés principalement aux gestionnaires et propriétaires forestiers.

Points forts

Démarche transversale de filière s’adressant aussi bien aux forestiers qu’aux transformateurs du bois, du privé et du public (grâce à l’équipe d’encadrement: ONF et Bureau d’étude indépendant).

Utilisation des nouvelles technologies et connaissances relatives au pin d’Alep : avancée scientifique avec l’exploitation des données satellites, innovations avec l’utilisation opérationnelle des modèles de croissance et de la norme.

Concrétisation en outils opérationnels.

Suscite un réel intérêt dans la région grâce à un contexte favorable : normalisation du pin d’Alepen 2018, regain d’intérêt pour les filières locales, marché des matières premières renouvelables en essor.

Productions scientifiques

  • Publications dans la revue Forêt-Méditerranéenne (t. XLI, n° 1, mars 2020) : Sylviculture et bois d’œuvre de pin d’Alep : des clefs pour passer de l’envie à la réalité
    Synthèse des connaissances sur le pin d’Alep autour de la valorisation du bois d’œuvre et de l’amélioration de la gestion, co-signé avec Olivier CHANDIOUX (Alcina Forêt)
  • Disponible sur le portail pin d’Alep mis en ligne par l’OFME (www.pindalep.ofme.org) : Méthode de classement des arbres sur pied et billons de pin d’Alep dans les catégories bois de construction et bois de palette, 2019

Perspectives envisagées

Diffusion (partage, formations) et mise en œuvre des outils dans le cadre de projets de construction en pin d’Alepdans la région Sud : bâtiments publics, installations pour les JO 2024 à Marseille, ...

Affinement du modèle de prédiction de la densité de pin d’Alep à partir des images satellites Sentinel.

Inclusion de nouveaux critères de décisions dans le simulateur: bilan carbone et autres fonctions écosystémiques de la forêt.

Appréciation personnelle

Stage passionnant réunissant les mondes de la forêt et du bois dans un projet de développement en phase avec les enjeux actuels : valoriser une ressource locale renouvelable, en circuit court.
J’ai apprécié la dynamique positive qui s’opère autour de cette filière émergente.

L’outil Sentinel m’a donné la satisfaction d’apporter à la connaissance scientifique, tandis que les deux autres outils m’ont donné celle de valoriser les résultats de travaux antérieurs en les transformant en application innovantes. Passer du concept au concret a rendu ce stage complet et extrêmement intéressant.

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Entreprises, trouvez votre stagiaire ou votre salarié(e), au Forum Emplois-Stages de l'ENSTIB le 8 octobre prochain. Cette année, le Forum se fera en VISIO !

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La direction de l’ENSTIB et de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy, ainsi que les Compagnons du Devoir, adressent tout leur soutien aux participants 2020, qui ont travaillé leur projet toute l’année. La décision n’a pas été prise à la légère, mais aucun créneau n’a pu être trouvé, pour un report de la manifestation.

Rendez-vous en 2021, pour une nouvelle édition !

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Victoria Demange, élève ingénieure à l’ENSTIB, fait partie des concurrentes sélectionnée pour le concours la Canopée. Elle sera sur scène le 4 mars à Nancy.

Sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, la Canopée est le premier concours national 100% dédié à ceux qui innovent pour la forêt et le bois. Grâce à de prestigieux partenaires locaux, Nancy accueillera l’une des étapes de la compétition, le 4 mars prochain. Les membres du jury nancéen représenteront les institutions partenaires du concours : le Pôle de Competitivité Xylofutur, le consortium Des Hommes et Des Arbres, l’ENSTIB, AgroParisTech Nancy, Fibois Grand-Est, les Est Angels, l’union régionale Fransylva Grand-Est, le pôle Fibre Energivie, le Village et le Crédit Agricole.

3 Catégories pour 3 Grands Prix : Idéation (étudiants, chercheurs), Startup, Entreprise. Le défi : parvenir à convaincre en 5 min (Elevator Pitch), un jury composé de professionnels de la filière mais aussi issus du monde de l’investissement, d’institutionnels, de professeurs et d’incubateurs d’entreprises. 

Toutes les infos sur concourslacanopée.fr